Nostalgie 2175


Anne Monfort


CRÉATION 2022

 

Texte Anja Hilling

Traduction Silvia Berutti-Ronelt & Jean-Claude Berutti

Mise en scène Anne Monfort

Collaboration artistique Laure Bachelier-Mazon

Avec Mohand Azzoug, Judith Henry et Jean-Baptiste Verquin

Scénographie Clémence Kazémi

Composition musique originale IRCAM avec Nuria Gimenez Comas

Création, régie lumières et régie générale Cécile Robin 

Régie son Guillaume Blanc

Administration, production & communication Coralie Basset & Nancy Abalo

Relations presse Olivier Saksik - Elektronlibre

Production & diffusion  Les Productions de la Seine - Florence Francisco & Gabrielle Baille 

 

Production Day-for-night

Coproduction CDN Besançon Franche-Comté, Théâtre National de Strasbourg, Les Scènes du Jura - scène nationale, Le Théâtre de la Cité - CDN de Toulouse, Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône, L’ARC, Scène nationale Le Creusot, ARTCENA aide à la création, IRCAM. 

Soutien Quint’Est, réseau spectacle vivant Bourgogne Franche-Comté Grand Est.



NOSTALGIE 2175

Le cœur fait ce qu’il a toujours fait. Il Bat. Dans un monde silencieux.

 

En 2175, dans un monde où la température avoisine les 60°C et où l’humain ne cesse de s’adapter à un environnement hostile, Nostalgie 2175 nous raconte une histoire d’amour et de vie entre trois protagonistes,  Pagona, Taschko et Posch. Pagona tombe enceinte, ce qui n’arrive plus depuis des décennies. Le poème que Pagona adresse à sa fille s’entrecoupe  de  scènes de flash- back racontant l’histoire de cette grossesse et des deux hommes qui l’entourent, sur fond de peintures, de désir, de nostalgie. 

 

Une plongée dans un univers dystopique et poétique qui interroge notre rapport à la planète, aux autres et au sens de donner la vie dans un monde qui paraît voué à la disparition.

 


 

En 2102 un accident environnemental a fait éclater la civilisation humaine. Depuis la température est montée à une hauteur moyenne de 60°. Les humains ne supportent plus d’être en plein air sans tenue de protection. Les femmes ne peuvent plus être fécondées naturellement ni donner naissance à des enfants sans risquer leur vie. En 2168 le jeune Taschko a été laissé pour mort dans une cour, où il s’est fait violer après qu’on lui ait arraché sa tenue de protection. Il est sauvé in extremis mais, depuis ce jour, il ne supporte plus d’être touché. Pagona aime Taschko mais ne doit pas le toucher, car trop longtemps sa peau a été exposée à l’atmosphère hostile sans protection.

Taschko travaille comme peintre pour une entreprise spécialisée en tapisserie sur peaux mortes. Il peint à même les peaux les images des films du vingtième siècle, des paradis perdus. Son patron, Posch, le soigne et possède tous ces films. Pagona, après avoir couché avec Posch, devient l’une des rares femmes à tomber naturellement enceinte depuis des décennies. Taschko l’accepte, conscient de son impuissance. Mais seulement 2% des mères survivent à l’accouchement. Néanmoins, elle décide de garder l’enfant, même si son avenir est incertain, et de tout mettre en œuvre pour sa naissance.

  


DATES DE REPRÉSENTATION

Du 7 au 15 décembre 2022 (relâche le 12 décembre)
Théâtre National de Strasbourg (FR)

Les 15 & 16 mars 2022

L’Espace des Arts, scène nationale Chalon-sur-Saône (FR)

Le 3 février 2022

L’ARC, scène nationale Le Creusot (FR)


Le 1er février 2022
Les Scènes du Jura au Théâtre de Dole (FR)

Du 25 au 28 janvier 2022

Théâtre de la Cité - CDN de Toulouse (FR)

Du 18 au 20 janvier 2022 | Création

CDN de Besançon Franche-Comté, Besançon (FR)






© Christophe Raynaud de Lage